vendredi 12 janvier 2007

Wii !!!

Salut à tous,

Comme je l’avais dit en introduction de ce blog, nous allons parler de sujets divers et variés. Le but de ce blog est de traiter de tout et de rien, de débilités profondes mais également de sujets plus sérieux. Là est le sujet de ce post.

Je voulais faire une petite incursion dans le monde des jeux vidéo et plus particulièrement dans le petit monde des constructeurs de machines de septième génération : la Wii de Nintendo, la Xbox 360 de Microsoft et la Playstation 3 de Sony.

Cet article se basera uniquement sur la Wii, étant la seule console que j’ai pu tester un tant soit peu.

Alors tout d’abord sachez que cette console est sortie le 19 Novembre aux Etats-Unis, le 2 décembre au Japon et seulement le 8 décembre dans nos contrées, en Europe. Mais avant de parler de la console dans le détail je voudrais faire un retour en arrière avant la sortie de cette dernière.

Nintendo a annoncé la sortie de leur dernière console dernière génération baptisée « Révolution » à l’époque lors de plusieurs conférence aux Etats-Unis, au Japon et enfin à Londres entre le 14 et 15 septembre de l’année 2006. La Wii est arrivée en fin d’année partout dans le monde dans un laps de temps de 3 semaines. Le pari étant de d’écouler un nombre impressionnant de 6 millions de consoles dans le monde d’ici à la fin mars 2007.

Satoru Iwata a fait le pari osé de construire une console qui puisse être accessible à tous autrement dit le rêve de tout constructeur, jeunes et moins jeunes.

La « Révolution » vient du maniement de la wiimote (contraction de wii et de remote en anglais télécommande). Il s’agit d’une manette détectant les mouvements en 3 dimensions et d’offrir à ce titre un gameplay tout à fait nouveau. Fini les prises de tête sur les manettes old generation où viser avec un pad analogique était aussi facile que de manier une souris avec un plâtre partant du bout des doigts et remontant à l’épaule. Pour jouer il suffit de viser l’écran de votre téléviseur et le mouvement de la mannette est reproduit à l’identique dans le jeu. Le tout est géré par un petit appareil que vous pouvez placer au dessus ou au dessous de votre téléviseur et qui émet des infrarouges. Petite anecdote cela marche aussi bien avec 2 bougies, plus tripant mais ne foutez pas le feu… Ainsi en jouant à un jeu de tennis vous tiendrez votre wiimote comme une raquette, du golf comme un club, des parties effrénées de bowling (attention on ne lâche la wiimote sinon votre télé va en pâtir et c’est maman qui va pas être contente…)

La line up (jeux sortis en même temps que la console) de la Wii est relativement bonne. On comptera des jeux tels que The Legend of Zelda Twilight Princess qui est à mon avis un des meilleurs Zelda sortis à ce jour toutes plateformes confondues (je sais de quoi je parle je les ai tous finis ^^). Notez aussi Wii Sport en bundle avec la console qui s’avère assez tripant lorsqu’on est au moins 2. Viennent ensuite des FPS (First Player Shooter ou Doom Like) comme Red Steel ou Call of Duty 3.

Bien que la maniabilité ne vienne pas instantanément, après quelques heures de jeu, on prend un réel plaisir à jouer. Quoi de plus jouissif que de pointer sa wiimote et de faire voler quelques casques de soldats allemands ou bien de se battre au katana contre quelque sbire affilié aux yakuzas… D’autres jeux sont également sortis tels que Rayman contre les lapins crétins et autres mais que je n’ai pas pu tester… mais qui méritent tout de même d’y jeter un coup d’œil.

J’entends déjà les septiques me dire que la Wii n’est qu’un gamecube amélioré où il faut faire l’idiot devant sa télé… Comme si ça ne suffisait pas on risque de tout casser chez soi à force de trop s’y croire…

A ces personnes je répondrai que premièrement il ne sert strictement à rien de jouer comme un bourrin et que de petits gestes suffisent largement compte tenu de la sensibilité de la wiimote. Ensuite je vous dirai que les jeux qui viennent de sortir ne reflètent pas encore les possibilités graphiques de la console et que bien d’autres jeux vont voir le jour et profiteront pleinement des capacités de la Wii.

Enfin je dirai que le prix de 250€ n’est pas excessif si l’on considère les prix des 2 autres consoles de 7ième génération (Comptez 500€ pour une Playstation 3 qui sortira en mars en Europe).

Bref la Wii est un petit bijou en terme de fun, et pour l’avoir testé avec des potes ou même mes parents je peux vous dire que tout le monde accroche.

Mais est-ce que la Wii saura garder toute sa fraîcheur après quelques mois ? Saura-t-elle garder son avantage face à ses concurrentes ? Nous en saurons plus au fur et à mesure que d’autres jeux viendront s’ajouter à la line up.



Remember No Coffee No Work...ee

jeudi 11 janvier 2007

Musique : Xavier Rudd - Food In The Belly.

Xavier Rudd

Food in the Belly
(2005)

Independent Release



1. The Letter
2. Messages
3. Pockets of Peace
4. Fortune Teller
5. Energy Song
6. The Mother
7. Food in the Belly
8. Miss You in My Life
9. Mana
10. Connie’s Song
11. Famine
12. Generation Fade
13. September 24, 1999


L’estomac bien rassasié, l’australien de 28 ans signait en 2005 son 3ème album studio après la sortie d’un live (Good Spirits) enregistré au Canada la même année et après ses multiples escapades scéniques dans de nombreux festivals folk en Australie et aux Etats-Unis. Car s’il y a quelque chose que l’on doit retenir concernant Xavier Rudd, c’est la qualité de ses performances « live » dotées d’un enthousiasme fulgurant et d’une grande interaction avec son public, lui délivrant une énergie inépuisable, vorace et des morceaux enflammés.

Food In The Belly va marquer tout d’abord une grande étape dans la carrière du touche à tout australien, car ce sera son premier album à pouvoir bénéficier d’une distribution internationale, l’occasion rêvée de faire entendre à la planète entière son melting pot réussi entre les diverses influences qui l’ont toujours marqué.

Très jeune, Xavier Rudd s’entiche du folklore australien, l’amenant ainsi à apprendre le didgeridoo en soufflant dans un tube d’aspirateur. Plutôt étonnant ! Mais ce n’est rien comparé au résultat (Mana en tête) : les rythmes délivrés par la maîtrise irréprochable de l’instrument qui, même sans l’utilisation de drogues ou autres substances illicites, n’a d’autre effet que de plonger nos corps dans une transe vibratoire frôlant un psychédélisme des plus aboutis. Un côté folklorique plutôt « roots » mis en exergue par une autre de ses influences majeures : le reggae, comme en témoigne The Mother, véritable hymne à la nature conjuguant l’efficacité du timbre si particulier et polymorphe de l’artiste avec des rythmes efficacement groovys et planants.

Mais l’australien n’est pas seulement un hippie ambidextre qui se contente de chanter son amour à la nature et aux différentes cultures qui l’ont inspiré durant toute sa vie, c’est aussi quelqu’un qui a su concilier l’harmonie du folklore australien avec les fondements de la musique américaine telle que le blues, le country ou encore le traditionnel folk americana.
On retrouve ainsi des faux airs de Dylan ou de Ben Harper dans la musique qu’il nous délivre, notons qu’il y a pire comme inspiration tout de même !
Ajoutez à tout cela une pincée de mélancolie, des refrains entêtants et une grande variété dans l’utilisation des instruments et vous obtiendrez Food In The Belly, un album copieux, sans pour autant être indigeste, offrant une pitance variée et une esthétique soignée.

La pieuvre australienne joue de tous les instruments et les combines avec aisance, même sur scène, jouant à la fois du didgeridoo et de la batterie dans des morceaux endiablés. Et pourtant même si les genres se rapprochent, le côté tentaculaire de l’album est grandement apprécié : une combinaison réussie de toutes ses influences donnant une musique totalement à part qui ravira tous les fans du genre qui s’en mettront plein la panse.



Et pendant ce temps en Afrique

...!

Ca y est c'est officiel !

Salut à tous !

Voilà, après mûre réflexion (genre...) notre blog vient d'ouvrir ses portes !
Je dis bien "notre" car il sera géré par plusieurs personnes comme Choub, Migz et votre serviteur.

Il comprendra diverses rubriques allant de la critique ciné, de bons souvenirs de soirées et tout un tas d'autres choses !!!

Alors have fun comme disent nos voisins anglo-saxons.

Vince ou la transformation réussie


Depuis quelques temps la nouvelle court dans les rues du monde entier, s'insinuant dans les maisons du riche et du pauvre, dans les salons de coiffure, lieux de prédilection de Gala, Closer et autres papiers torche-cul © Jean-Louis Murat et même dans les salles de cours de l'iut Info-Com à Toulouse, qui, tout le monde le sait, est un lieu de travail acharné.

Mais quelle est donc cette nouvelle si étrange accrochant même la Une du journal de PPDA ????

Je vous le dis THIERRY AMIEL a bel et bien d-i-s-p-a-r-u !!!!!!!!!


Thierry aurait disparu Dimanche dernier, alors qu'il rendait visite à on sait pas qui et on s'en fout, derrière la boulangerie "Le Fournil de Laura" dans un coin perdu qu'on sait plus comment qu'il s'appel.

Sa mère ayant fourni une photo récente, certaines personnes l'auraient aperçu entrain de rentrer par effraction dans une maison non loin de la boulangerie.

Mes amis l'heure est grâve, car de nos jours nos rues ne sont plus sûres, nos enfants et nos chanteurs de variété sont la cible de réseaux organisés, la FRANCE , les français doivent réagir!

Je suis néanmoins capable de fournir la preuve que sous cette douce et agréable chaumière que nous connaissons tous, Thierry Amiel se serait pendant plus de 22 ans dissimulé sous les traits de Vince, les 4 bras m'en tombent, je me perds dans les néans de mon incompréhension profonde. Je suis sous le choc, mais parviens quand même à vous faire part de cette information pour le moins surprenante.





Chb pour Jango'Star production

P.S : Bientôt des photos seront disponibles.